Hydratation en hiver, ce n’est pas du sport!
L’arrivée de l’hiver n’est pas une raison pour s’encabaner jusqu’au [...]
L’arrivée de l’hiver n’est pas une raison pour s’encabaner jusqu’au [...]
Nous entendons souvent des gens dire que leur métier est [...]
Déprimant l’hiver? Pas du tout ! Pour vous donner le [...]
Ah l’hiver! Avec sa température imprévisible, ses vents et son [...]
Avec les soupers et partys des Fêtes, les habitudes de vie plus ou moins saines au quotidien et les objectifs ratés de l’an dernier, voilà que la culpabilité et les pensées anxiogènes vous assaillent. Un cocktail quelque peu toxique qui ne facilite en rien la prise de bonnes résolutions en ce début d’année.
Que ce soit dans le cadre d’un entraînement par circuit ou simplement pour essayer le mouvement à la mode, une question vous a sûrement effleuré l’esprit
Depuis que vous vous entraînez, avez-vous observé des changements au niveau de votre appétit? L’exercice améliore le contrôle de l’appétit à court terme selon les experts. Cependant, à long terme, le phénomène est beaucoup plus complexe et son analyse demande de s’interroger autant sur les facteurs biologiques que psychologiques.
Nos mauvaises habitudes de vie nous font grossir. Elles sont loin devant la génétique pour expliquer pourquoi les gens gagnent du poids.
L’envie de vous entrainer tous les jours pour éviter la perte de vos gains avant l’évènement et de tester vos limites est omniprésente dans votre esprit.
D’après l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) sur la Santé mentale de 2012 de Statistique Canada, près d’un adulte sur huit (12,6 %) a indiqué avoir souffert à un moment de sa vie de symptômes qui répondent aux critères d’un trouble de l’humeur, dont 11,3 % pour une dépression et 2,6 % pour un trouble bipolaire